David Wagner est né en 1971 à Andernach (Allemagne). Son premier roman, Meine nachtblaue Hose, publié en 2000, a été unanimement salué par la critique et a reçu de nombreuses récompenses dont le Walter Serner Preis, le Prix Dedalus de littérature contemporaine et le Georg K. Glaser Preis. En vie a remporté le prestigieux Prix de la Foire de Leipzig en 2013.
« David Wagner convoque les souvenirs de la transplantation du foie qui lui a sauvé la vie. Le résultat est saisissant, et, quelle que soit la situation du lecteur, il est forcé de reconsidérer l'existence à la lecture de ce livre. » Pierre Deshusses, Le Monde des livres
« En vie n’est ni triste, ni horrible, ni ennuyeux. Tout le contraire : c’est hyper réaliste et philosophique, grave et léger. C’est étonnant à quel point David Wagner réussit à faire un livre aussi passionnant, amusant parfois, avec un sujet a priori plutôt ingrat » Nathalie Levisalles, Libération
« Tout cela repose visiblement sur une documentation scientifique impeccable et jamais pesante. Mais loin de se limiter à l'aspect clinique, le récit est aussi celui d'une personnalité embarquée dans un voyage aux frontieres de la vie. Le réalisme croque avec tendresse les innombrables chirurgiens, étudiants en medecine, infirmières. Quant au narrateur, il sait dépasser l'angoisse pour atteindre une flottante sérénité. [...] . Ainsi la dimension documentaire s'associe avec bonheur avec l'onirisme, avec les etapes d'une renaissance, en une stupéfiante leçon de vie. »Thierry Guinhut, Le Matricule des anges
« Une réflexion poétique et profonde sur la vie et la mort. [...] Ce récit teinté d'humour où l'imaginaire joue un grand rôle est d'une qualité littéraire impressionnante. Comment se fait-il que le livre soit si captivant alors qu'il ne se passe presque rien? L'authenticité du récit et le style léger et poétique rendent la lecture aisée; Wagner parvient en 277 petits chapitres – parfois deux lignes – à sublimer la banalité.» Stéphane Maffli, Le Temps
« Une histoire finement racontée par David Wagner. Dans la lignée du Réparer les vivants, de Maylis de Kerangal, il est également question de greffe dans ce roman, unanimement salué lors de sa parution en Allemagne. » Onlalu.fr
« Comment parler du corps dans ses détails et dans son ensemble et dans sa psyché? Parce que tout ça fonctionne ensemble et pas séparément. Et c’est exactement la même chose dans un roman. David Wagner y parvient dans ce roman qui me laisse délicatement effarée. Ce roman mérite largement d’être remarqué dans cette rentrée littéraire. » Blog Suspends ton vol
« Un régal, une immersion totale, du point de vue du malade, à travers ses sentiments les plus profonds et ses peurs les plus intenses. Ce roman est à sa manière, une ode à la vie. » Blog EM Les Pages