Au cœur des ténèbres, en Afrique centrale, mercenaires, barbouzes, fonctionnaires et chefs d’entreprise occidentaux corrompus et chefs de guerre cupides, sèment la terreur et détruisent impitoyablement un pays et ses habitants.
En Afrique centrale, dans la région des Grands Lacs, mercenaires, barbouzes, fonctionnaires occidentaux corrompus et chefs de guerre cupides s’en donnent à cœur joie, détruisant impitoyablement un pays et ses habitants. Les hommes droits, comme Egbéblé, chef de village qui veut venger sa fille, ou Pelletier, ingénieur agronome qui fourre son nez où il ne faut pas, ne sont que des pions sacrifiés sur l’autel du pouvoir et de l’argent. Même les exploiteurs et les comploteurs minables, manipulés par plus puissants qu’eux, ne sortiront pas indemnes du cœur des ténèbres, et le lecteur assiste, impuissant et révolté, au délitement de l’âme et du monde.
Succession est le roman de la folie de l’homme et du pouvoir, de la corruption absolue, celle qui détruit les innocents et fait se déchirer les peuples.
Patrick Cargnelutti, né en 1957 à Châlons-sur-Marne, vit à Carhaix.
Passionné de musique, de littérature et de peinture, il s’intéresse à la politique et à l’écologie. Ancien infirmier en psychiatrie, après de nombreux engagements associatifs, il cofonde en 2013 le webzine littéraire Quatre Sans Quatre et crée l’émission de radio « Des polars et des notes ». Auteur de Peace and Death (Jigal Polar, 2017), il est lauréat du prix Dora-Suarez de la nouvelle 2017 pour « Amin » (Enfantillages, AO).
Lire un extrait
« Coup de projecteur sur les mécanismes de manipulation politico-financière, les luttes de pouvoir, les manipulations de masse, le sort des autochtones, les désastres écologiques ; Sur les pulsions destructrices aussi, les traumatismes, la jouissance, la cruauté. » La mare aux livres
« Coup de cœur pour cet incroyable roman ! Un immense merci à l’auteur et aux éditions Piranha pour cette proposition de lecture : je garderai longtemps en tête ce pays du Kimbavu et cette sanglante épopée… Chers lecteurs, un conseil : prenez bien votre respiration avant d’entrer dans ce roman, vous soufflerez quand vous l’aurez refermé, mais ne le ratez pas car les livres de cette intensité sont rares ! » L’Œil noir
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